GUÉRIR

8 · 29 · 23

Que signifie guérir pour les enfants de la Terre ?

C’est, sur la base de la reconnaissance que je suis porteur de tout ce qui mine l’humain, recouvrer et restaurer toute l’information des mémoires de la création, en s’affranchissant du temps tel que nous le percevons sur terre, et en ré-informant la grande toile cosmique de la Vie.

Considérant que “ce qui est en haut est comme ce qui est en bas”, (et réciproquement ) c’est à dire que ce qui est dans le macrocosme est intégralement dans le microcosme, ou encore, ce qui est dans l’Univers est comme ce qui est dans l’Homme, ce qui est dans l’Homme est dans l’Univers, l’initié sait qu’ œuvrer en son intériorité, c’est œuvrer en l’Univers intégralement ; sachant que tout est énergie et information, déclinées en de multiples fréquences vibratoires ou ondulatoires.

En outre il sait que demander à autrui de changer, même avec les meilleures intentions du monde, c’est s’inscrire dans la logique du conflit, de la guerre.

C’est simultanément soulageant et motivant, de savoir qu’il n’y pas des millions d’individus à convaincre et à changer, pour s’inscrire en faux contre le chaos et la souffrance, mais un seul : soi, et surtout cela donne un vrai sens au mot responsabilité. Cette responsabilité consciente et assumée qui est constitutive de la vrai dignité, à contrario de la culpabilité. L’une émancipe quand l’autre aliène, et il n’est de dignité que dans la liberté.

Ainsi, sur le socle de ces quelques considérations non exhaustives, le guerrier de lumière, le guérisseur, étend sa conscience à plus de dimensions de l’Univers, de mondes parallèles, et part à la rencontre des différentes énergies responsables des troubles et des désordres.

Par la force des croyances des humains – qui soit dit en passant témoigne de leur pouvoir créateur – et par suite de la répétition des mêmes erreurs, certaines de ce énergies peuvent être perçues comme des entités, voire des démons – elles le sont devenues en un certain sens, par cristallisation – dont l’agressivité n’est pas un vain mot, pas plus que leur dangerosité, leur malignité au demeurant. Il faut au guérisseur une force et une connaissance particulières pour lui permettre de s’y confronter sans y laisser sa santé ou sa vie, et d’en avoir raison.

Il est par ailleurs intéressant de se représenter qu’en remontant aux premiers ancêtres nous diminuons drastiquement le matériel génétique de l’humanité, nous sommes des millions à partager des parts de notre ADN, et par conséquent des mémoires qu’il contient.

Tout ceci conjugué conduit à ce que nous nommons la magie du chamanisme, consistant à guérir un spectre traumatique de mémoire individuelle, qui envoie dans le champ morphogénique (ou psyché collective, ou encore “inconscient collectif” que l’on doit à la psychanalyse jungienne) l’information de restauration à tous ceux qui partagent la génétique du patient et rend accessible aisément la guérison d’une problématique particulière traitée, pour ceux qui la recherchent sincèrement.
En effet le positionnement de chacun est et doit demeurer absolument libre. Et on le voit bien, au cœur de cette emprise générale de la fausse matrice, la majorité des humains préfère pactiser, transiger avec ses maux plutôt que de remettre en question ses choix, ses croyances et ses schémas.

Pour nous, guérir consiste donc à accompagner ou encourager voire déclencher des prises de conscience, mettre en lumière une problématique et remonter à sa source, en dégager les mémoires traumatiques et leurs “cerbères” pour transmutation en une ré- information et/ou destruction, soin qui s’accompagne d’un remembrement, c’est à dire une réintégration de parties de l’être que les traumatismes ont projetées en des mondes intermédiaires et qui font défaut dans la construction de la personne (phénomène d’occultation-cloisonnement des traumatismes sévères chez l’enfant, qui sont dans la vie de l’adulte autant bombes à retardement que poison sournois, interdisant l’accès serein à sa véritable identité, à la plénitude de son pouvoir créateur et à sa complète vitalité.) Nous guérissons les causes aussi bien de symptômes existants ou à venir, que de troubles relationnels, ou accidents domestiques, ou blocages professionnels.

Ce faisant nous aidons les personnes à quitter leurs peurs, inhibitions, libérant une énergie disponible dès lors pour une spiritualité plus forte, pour une présence à soi plus consciente et vigilante, pour une créativité accrue et une plus belle estime de soi. Pour se rencontrer enfin, soi! (ce qui n’arrive à pas beaucoup d’humains! )

Ainsi une personne sur la voie de la guérison, désireuse d’être plus présente à soi- même, en son corps qui est notre instrument et véhicule à la fois, saura ne plus nourrir des pensées de basse fréquence, celles qui en saturation conduisent à ce que l’on appelle la dépression, et cessera de contribuer au chaos, à la dévastation et au malheur. Les premiers bénéfices sont peut être bien pour elle, mais un immense bienfait en résulte sur Terre.

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